Le 6 mai paraîtra aux éditions Asgard un nouveau roman estampillé CoCyclics. Préparez-vous, grenouilles innocentes, à pénétrer dans les ruelles sombres de la Cité Noire, de Thomas John !
Présentation de l’éditeur :
***
Une soirée de lancement aura lieu ce mardi 3 mai à la St-George’s Tavern, à Paris ! (plus de renseignements sur le blog de la Cité Noire)
En attendant, deux bêtas nous ont livré leurs souvenirs de travail et de découvertes avec Thomas John :
Blackwatch :
« Ma rencontre avec la Cité Noire date de mes débuts sur CoCyclics. C’était le premier roman sur lequel je travaillais et je me souviens avoir été remplie d’appréhension et de curiosité en même temps. Qui ne l’aurait pas été quand l’auteur admettait aimer beaucoup le Trône de fer ? Je ne pouvais que sauter sur l’opportunité ! Et je ne l’ai pas regretté. Des intrigues multiples et complexes, se déroulant dans l’ombre de cette cité, où il ne fait vraiment pas bon traîner dehors certaines nuits. Et en particulier une rencontre très attachante avec Perceron, un des héros de l’histoire, qui possède un style de combat inimitable (surtout coincé dans une cheminée !). Ce roman est également une aventure pleine de rebondissements, depuis le mystère de ses souterrains jusqu’aux complots se nouant dans les hautes sphères. Bref, un vrai régal ! De plus, la collaboration avec Thomas s’est révélée très agréable et constructive. Je ne pouvais pas imaginer mieux pour un premier essai ! »
Ereneril :
« Ma bêta-lecture de la Cité noire restera un souvenir éternel.
Comment ça, on dirait un mauvais cliché d'un roman à l'eau de rose ?
Il s'avère que ce roman est le premier que j'ai bêta-lu. Dans ce temps là, que les moins de 2 ans (d'ancienneté) ne peuvent pas connaître, il s'agissait de la seconde phase de lecture, destinée principalement à détecter les problèmes de style et les coquilles et autres fautes mineures.
Malgré ma détermination à aborder le texte d'un point de vue purement technique, je dois avouer que je me suis laissé prendre au jeu. Son héros maladroit m'a convaincu et j'ai plus été porté par le plaisir de la lecture que par l'acharnement du bêta-lecteur.
Thomas l'a appelé Perceron mais dès les premiers passages et notamment une magnifique scène dans une auberge, j'ai associé Perceron, héros malgré lui, aux personnages distraits mais attachants qu'incarnait le comédien Pierre Richard dans les années 70/80.
La Cité noire est un récit complexe, mettant en œuvre de nombreux personnages et intrigues mais si je dois en retenir quelque chose, c'est le faible que j'ai pour Perceron. »
Présentation de l’éditeur :
Une cité régie par des sorciers aux pouvoirs déclinants.
Une cité où toutes les sept nuits, lorsque les lunes se confondent, la mort hante les rues et emporte les défunts.
Une cité d’aventures épiques, d’amours et de mort.
Quel est donc le mystère de la Cité Noire ? Perdus au milieu de ses complots,
Ao, Perceron et Kroll parviendront-ils à survivre ?
« Les doigts glacés de l’averse s’insinuaient sous ses haillons. Un frisson lui parcourut l’échine. Il chassa d’un revers de la main l’eau qui glissait sur ses sourcils, prit une profonde inspiration et finit par se redresser, titubant au bord du belvédère. La cité noire s’étendait à perte de vue, labyrinthique, constellée de lueurs agonisantes, balayée par les rafales hurlantes. »
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Une soirée de lancement aura lieu ce mardi 3 mai à la St-George’s Tavern, à Paris ! (plus de renseignements sur le blog de la Cité Noire)
En attendant, deux bêtas nous ont livré leurs souvenirs de travail et de découvertes avec Thomas John :
Blackwatch :
« Ma rencontre avec la Cité Noire date de mes débuts sur CoCyclics. C’était le premier roman sur lequel je travaillais et je me souviens avoir été remplie d’appréhension et de curiosité en même temps. Qui ne l’aurait pas été quand l’auteur admettait aimer beaucoup le Trône de fer ? Je ne pouvais que sauter sur l’opportunité ! Et je ne l’ai pas regretté. Des intrigues multiples et complexes, se déroulant dans l’ombre de cette cité, où il ne fait vraiment pas bon traîner dehors certaines nuits. Et en particulier une rencontre très attachante avec Perceron, un des héros de l’histoire, qui possède un style de combat inimitable (surtout coincé dans une cheminée !). Ce roman est également une aventure pleine de rebondissements, depuis le mystère de ses souterrains jusqu’aux complots se nouant dans les hautes sphères. Bref, un vrai régal ! De plus, la collaboration avec Thomas s’est révélée très agréable et constructive. Je ne pouvais pas imaginer mieux pour un premier essai ! »
Ereneril :
« Ma bêta-lecture de la Cité noire restera un souvenir éternel.
Comment ça, on dirait un mauvais cliché d'un roman à l'eau de rose ?
Il s'avère que ce roman est le premier que j'ai bêta-lu. Dans ce temps là, que les moins de 2 ans (d'ancienneté) ne peuvent pas connaître, il s'agissait de la seconde phase de lecture, destinée principalement à détecter les problèmes de style et les coquilles et autres fautes mineures.
Malgré ma détermination à aborder le texte d'un point de vue purement technique, je dois avouer que je me suis laissé prendre au jeu. Son héros maladroit m'a convaincu et j'ai plus été porté par le plaisir de la lecture que par l'acharnement du bêta-lecteur.
Thomas l'a appelé Perceron mais dès les premiers passages et notamment une magnifique scène dans une auberge, j'ai associé Perceron, héros malgré lui, aux personnages distraits mais attachants qu'incarnait le comédien Pierre Richard dans les années 70/80.
La Cité noire est un récit complexe, mettant en œuvre de nombreux personnages et intrigues mais si je dois en retenir quelque chose, c'est le faible que j'ai pour Perceron. »
Pour ma part, je ne sais pas trop ce que vaut le livre, mais en tout cas, la couv' est magnifique ! Bravos à tous !
RépondreSupprimerA.C.